Infinisearch sur Twitter Infinisearch sur Facebook Infinisearch sur Google+

Pour équilibrer leurs fins de mois, les français se font coacher

Le phénomène des coachs financiers fait sa première apparition en France au début des années 2000. La mayonnaise ne prend pas de suite, certainement la faute à la mentalité de la population française à ne jamais parler argent avec un inconnu. Ce bizness très fréquent outre-Atlantique, repose sur des principes simples qui sont d’accompagner les gens dans la gestion quotidienne de leur argent, en les guidant dans les dépenses et en optimisant leurs postes de dépenses.

Dans les pays anglo saxons le rapport à l’argent étant très différent de la France, ce concept a très rapidement su séduire les riches et moins riches.

Concept omniprésent aux États-Unis

Ainsi, c’est près de 2 millions d’américains qui chaque année suivent les conseils d’un coach financier. En grande partie pour maitriser leurs fins de mois difficiles, il y a aussi énormément de personnes aisées qui aiment se faire entourer pour optimiser leur épargne.

En effet, contrairement à l’automobile et son permis à points, il n’existe pas de formation particulière pour bien gérer son argent ce qui constitue un réel manque. Ce n’est pas à l’école que l’on vous guide, éduque pour maitriser un budget. Les seules lignes que vous pourrez trouver consacrées à ce sujet sont les cours de comptabilité où l’on vous apprend qu’un budget doit dans le meilleur des cas être au moins équilibré.

Apprendre à gérer son argent en s’amusant

Concrètement cela ne vous apporte pas grand puisque cela est bien éloigné de votre vie quotidienne. Le coaching financier vous permet de manière ludique, constructive d’assimiler la subtilité de la moindre dépense, des bienfaits de l’épargne, de la gestion saine d’un emprunt. Vous apprendrez par exemple au cours de votre coaching financier que ce ne sont pas forcément les catégories les plus aisées qui proportionnellement consacrent la plus grande part de leurs revenus à l’épargne. C’est le concept de propension marginale à consommer, ou part du revenu destinée à l’épargne.

Quelques infos supplémentaires

Actualité publiée par Sophie - 495 lectures

Partager sur les réseaux sociaux
Haut de page